stephy2neuch a écrit :
personellement le maquillage embellit pas mais cache. car il cache les defauts, ça m'enerve de voir toute ces nana de 14-15 ans maquiller comme des pot de peinture, avec une couche de fond de teint, du blush.... à quoi bon? et le naturel dans tous ça. et j'ose pas imaginer l'etats de leur peau dans 10 ans. personnellement je suis contre le fond de teint, c'est beaucoup trop mat ( je sais pas si les filles ne savent pas en mettre). quand je vois l'état de peau de ma cousine qui n'arrete pas....elle en a 24 ans mais sa peau en fait 10 de plus.
apres c'est mon avis.
mon seule maquillage c'est:
de la creme nivea, je passe un glaçons sous les yeux si j'ai des cernes, du mascara et du liner et c'est tous, pour la matité y a de très bon masque nourrisant qui matifie legerement sans rendre cet effet... crepie. et pour les boutons d'acnée.... tous le monde en a alors a quoi bon les cacher, faut les soingner c'est tous et pour les levre...du labelo et ça suffit.
à mon avis à trop vouloir cacher nos defauts, on en deviens fausse.
+1 toussa :)
Quand j'étais petite, mon père m'avait fait un bon long speech sur l'état dans lequel serait ma peau si je commençais à me maquiller ... autant dire que ça a calmer mes ardeurs. J'ai un jour essayé de mettre du fond de teint mais j'avais l'impression d'étouffer ... en plus ça daube quelque chose de féroce ces trucs, je supporte pas d'en avoir sur la tronche.
Un coup de crayon/mascara parfois, mais pas systématiquement.
Attention, ne pas se maquiller ne veut pas dire qu'on s'occupe pas de soi, bien au contraire, comme dit la dame du haut, y'a d'excellents masques qui font un bien fou à la peau. De bons soins, une bonne hydratation et hop.
osef du maquillage, tout est dans l'attitude \o/
We are the local embodiment of a Cosmos grown to self-awareness. We have begun to contemplate our origins: starstuff pondering the stars; organized assemblages of ten billion billion billion atoms considering the evolution of atoms; tracing the long journey by which, here at least, consciousness arose. Our loyalties are to the species and the planet. We speak for Earth. Our obligation to survive is owed not just to ourselves but also to that Cosmos, ancient and vast, from which we spring.
(Carl Sagan)