Isabelleh : le sel est un exhausteur de goût et on l'utilise pour ça : refaire sortir les goûts. (on peut aussi l'utiliser comme conservateur, mais il en faut beaucoup plus. XD). Mais tu n'en as pas besoin si tu utilises du beurre demi-sel ou du beurre salé. Par contre, si tu utilises du beurre doux (ze best), il vaut mieux mettre une pincé de sel pour éviter que ça soit fade ou pour faire exploser les saveurs. Mais avec les 2 autres beurres, tu as largement assez de sel, donc pas la peine d'en rajouter.

J'ai entendu dire que les personnes aux cheveux blonds et yeux bleu vont disparaître un jour parce qu'il il y a plus de personnes aux cheveux brun et aux yeux bruns. Est-ce vrai ? 

Merci sisi!

Autre question même si je sais que j'suis pas dans la bonne partie du forum (mais à chaque fois que je veux envoyer un post dans la partie actualité ça me déconnecte). Ils sont où le podium et le défilé de noël. Je dois être une quiche mais j'arrive pas à mettre la main dessus.

Claire9747 : alors... le(s) allèle(s) cheveux blonds et le(s) allèle(s) yeux bleus sont récessifs. Mais il n'est pas rare  que du coup, des personnes avec des allèles cheveux blonds/yeux bleus se baladent en étant brunes/yeux marrons. Et donc avoir des enfants blond/yeux bleus.

Après, vu que nous sommes de nouveau dans une phase mondiale important, il se peut que les allèles ne soient plus apparent dans très longtemps (je crois qu'on tourne au tout de 3 000 à 30 000 ans) si on continue comme ça. Mais vu nos changement d'habitude rapide, ça pourrait ne pas arriver.

Bonsoir !
Bon je sais pas si c'est vraiment une question bizarre ou si l'une d'entre vous saura me répondre (malgré ma licence en bio je trouve pas la réponse moi même ) mais j'arrive pas à trouver ma réponse sur internet : je me demande pourquoi les maladies mitochondriales affectent en général un seul organe.

Je m'explique. Mon père est atteint de la neuropathie optique de Leber, qui est une maladie mitochondriale entraînant la perte de la vue, et du coup je faisais pas mal de recherches là dessus. Et il s'avère que c'est dû à une mutation particulière de l'ADN mitochondrial, j'épiloguerai pas plus là dessus sinon je vais pondre un pavé. Du coup y a une question qui m'a frappé, c'est pourquoi est-ce que ça affecte que les yeux. En excluant les cas sporadiques bien sûr, je me dis que la mutation étant présente dans toutes les mitochondries, ça devrait affecter l'ensemble du corps non ? Or pour beaucoup de maladies mitochondriales, un seul organe est affecté.

Voila voila, merci d'avance si vous réussissez à m'éclairer là dessus

Rainette86 : Alors, j'en ai fichtrement AUCUNE idée (peut être qu'un-e médecin ou infirmier-ère le saurait). Mais ce que j'ai en hypothèse, c'est que c'est l'ADN mitochondrial de cette zone qui est muté (ex : durant le développement du fœtus/embryon où il y a eu un "bug"), ou que c'est quelque chose dans la zone (activation de certains gènes qui sont spécifiques à la zone touchée) qui fait que l'ADN muté est activé ou non. Je penche plus sur ma 1ère hypothèse (plus simple), mais sans être sûre DU TOUT.

Sissi1428 -> Tout d'abord merci de ta réponse ! Oui, j'ai pensé à ça aussi, mais sans certitude. Je sais qu'il y a énormément de régulateurs de l'expression des gènes, qui doivent forcément jouer un rôle là dedans. Mais pourquoi spécifiquement à ce niveau là, pourquoi dans ce cas ces points n'apparaissent pas dans les descriptions ultra précises des maladies, je sais pas. Dans tous les cas c'est une maladie qui est encore loin d'être connue de A à Z, pas mal de facteurs environnementaux peuvent jouer aussi, donc y a plein de choses à prendre en compte.
Mais merci tout de même !

Dernière modification par Rainette86 (Le 17-12-2017 à 19h55)

Rainette : comme tu l'as dit, probablement des facteurs environnementaux mais aussi l'expression d'autres gènes. Tous les gènes ne s'expriment pas alors qu'ils sont tous dans l'ADN de la cellule. Mais si c'est une cellule musculaire, les gènes exprimés ne seront pas les mêmes que dans une cellule neuronale. Du coup... peut-être d'autres gènes, des facteurs internes, autre... ^^"

Après en y réfléchissant je suis pas certaine que l'expression des gènes puisse réellement jouer dans le cadre de ce genre de maladies... Je peux pas généraliser, mais là pour cette maladie en particulier c'est une mutation du gène mitochondrial ND4 (en général, mais il peut y en avoir deux autres apparemment) qui code pour la protéine NADH déshydrogénase 4 qui constitue le complexe I de la chaîne respiratoire. Donc logiquement c'est une petite mutation qui va changer un acide aminé, la protéine n'est donc pas fonctionnelle et les cellules rétiniennes ne peuvent plus survivre sans production d'ATP finalement.
Mais si c'était réellement une question d'expression des gènes qui était en jeu, même si le gène n'était pas ou moins exprimé ailleurs dans le corps, y aurait ce souci puisque la protéine serait pas produite dans tous les cas.
Or visiblement ça fonctionne ailleurs, donc je sais pas. Peut être qu'il existe d'autre gènes pouvant coder pour cette protéine aussi, ou alors pour d'autres NADH déshydrogénases qui peuvent être fonctionnelles ailleurs mais qui sont pas spécialement utilisées normalement ?

Enfin bref, limite faudrait que je contacte mes anciens profs de fac pour savoir s'ils sont au courant de ça, je suis pas sûre de trouver une réponse claire et précise autrement

Dernière modification par Rainette86 (Le 17-12-2017 à 22h09)

Donc cf ma première hypothèse. XD Pour tes prof, si tu as un-e généticien-ne c'est possible, sinon, tente vraiment un-e médecin. ^^"

Oui, finalement c'est ce qui me semble le plus approprié Oui j'en ai eu 3 des profs généticiens, mais bon j'ai arrêté la fac depuis deux ans donc j'ai plus vraiment leur contact. Je verrai ça la prochaine fois que je verrai un médecin !

Pourquoi c'est plus facile de penser au négatif, que de penser au positif ??

> Merci pour vos réponses précédente (en retard) XD

Dernière modification par abba66 (Le 10-01-2018 à 13h43)

abba66 a écrit :

Pourquoi c'est plus facile de penser au négatif, que de penser au positif ??

> Merci pour vos réponses précédente (en retard) XD

Car il y a une sorte de virus en toi qui se nourrit de tes sentiments négatifs, il s'impose à toi sans même que tu t'en rende compte et il crée ta tristesse, tes angoisses et tes peurs*. Plus tu le nourris de sentiments comme ça plus il va être fort et donc se sera plus difficile de penser au positifs qu'aux négatifs. En vrai si le sujet t'interresse vraiment je peux te partager un livre que j'ai lu en rapport et qui peut t'aider ssi tu veux plus penser aux positifs

nino300 a écrit :

abba66 a écrit :

Pourquoi c'est plus facile de penser au négatif, que de penser au positif ??

> Merci pour vos réponses précédente (en retard) XD

Car il y a une sorte de virus en toi qui se nourrit de tes sentiments négatifs, il s'impose à toi sans même que tu t'en rende compte et il crée ta tristesse, tes angoisses et tes peurs*. Plus tu le nourris de sentiments comme ça plus il va être fort et donc se sera plus difficile de penser au positifs qu'aux négatifs. En vrai si le sujet t'interresse vraiment je peux te partager un livre que j'ai lu en rapport et qui peut t'aider ssi tu veux plus penser aux positifs

What ???? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ??

Nan mais c'est surtout que ça dépend des gens, en fait. Y'a des gens qui voient plus facilement le positif que le négatif et vice versa. Puis bon on reçoit peut-être plus souvent de remarques négatives que positives. Y'a aussi la dépression mais c'est encore autre chose.

misscoeur57 a écrit :

RavioliGangsta a écrit :

Est ce que se créer une entité extérieure à soi, une sorte de tulpa, éloigne ou rapproche de l'état de folie?

Ca peut permettre d'échapper à la folie dans le cas où la personne vie un quotidien et une réalité difficile et a besoin de s'échapper à sa façon pour être capable de continuer

Alors, je ne connais rien de théorique là-dessus et j'ignorais jusqu'au sens du mot tulpa (du coup ça ne m'étonnerait pas de répondre totalement à côté de la plaque mdrr), mais j'ai une sorte d'expérience personnelle liée à un truc similaire. Je dirais que ça éloigne (de la folie), ou même que ça n'a pas obligatoirement un rapport si évident que ça avec elle, à partir du moment où il y a au moins la moitié de ton temps où tu ne penses plus à cette entité, ou que tu n'y penses plus que superficiellement, c'est à dire presque sans plus y croire. Mais le problème n'est pas d'y croire à fond quand c'est le moment ou de se laisser totalement submerger par sa création : parce que ça en fait ça se rapproche pas mal de ce que font les acteurs. Certes, on pourrait dire que ce n'est pas toi qui joues, mais en fait si, puisque tu crées mentalement un autre que toi, et donc forcément tu t'adaptes selon cet autre et selon ses actes, donc tu joues doublement. Il y a un genre de décrochage qui permet de croire dur comme fer à un mensonge qu'on a soi-même construit. En fait, c'est lié au processus de création tout court. C'est pour cela que pour moi, la folie (mais je ne parle que pour le cas où cette expérience est pratiquée par une personne relativement ""saine d'esprit"") n'entre pas rigoureusement dans le schéma. Parce qu'à l'instant précis où tu peins, où tu joues, où tu écris de la pure fiction, et donc l'instant précis où tu imagines cet alter ego et que tu lui confère toute une imagerie, une voix, des mots, bref, à cet instant précis où tu crée quelque chose, tu y crois. Et c'est naturellement aussi qu'avec une minute de recul, quand tu regardes ta toile de loin, quand une circonstance extérieure t'interpelle, que là effectivement tu sais (sans forcément te le dire, mais genre tu en a conscience) que ce que tu as vécu n'appartient pas objectivement à la réalité, même si subjectivement c'est réel parfois dans les sentiments qu'on réussi à en tirer...
Je pense que tant qu'il y a cette mise à distance de possible, (somme toute assez ordinaire et qui arrive d'elle-même une fois la tirade finie/l'imagination épuisée/etc) la folie est loin.

Abba : Ça dépend des gens et des périodes. Ah ! Mais grâce à ta question j'ai eu une idée que je n'avais jamais eu sur le sujet : ma théorie (née il y a deux minutes mais passons), c'est que le négatif se joue en fonction du passé ou de l'advenu et présuppose (comme tu l'a fait xD) les choses selon l'aspect du vécu (car si tu suppose que c'est plus facile de penser négatif, c'est bien parce que tu es tristoune en ce moment, non? Parce que par exemple je ne pense pas que l'un soit plus facile que l'autre, je veux dire par essence), et si il t'est arrivé des tuiles, bah tu va considérer qu'il va encore t'en arriver : "ça m'arrive encore aujourd'hui", "ça va encore être pourri" etc etc. A contrario, le positif a comme dynamisme le renouveau, la nouveauté, l'espérance qui naît d'un regard neuf, lavé de toutes les saletés qui te sont arrivées précédemment. En gros, pour penser positif, il faut casser le cercle vicieux du négatif. Et à mon avis, la meilleure solution reste le rationalisme. Car le fait d'être objectif apporte un regard neuf à ta situation, cela fait qu'il s'extrait du cercle et donc que toi aussi. Il faut tenter de se projeter hors de soi-même. A chaque fois que je suis dans une situation très critique, je me dis qu'au pire, je meure, c'est tout (ça peut sembler cynique écrit comme ça sur le net sans développements mais je vous assure qu'en vrai c'est de la pure spiritualité très saine -sauf que là j'exagère aussi mais bref XD) : l'univers continuera de tourner, tout ça tout ça, c'est hyper rassurant et c'est bien en quelque sorte le degré extrême de l'objectivisme. Donc si au pire, je meure, bah autant pas se prendre la tête quoi. Je dis pas qu'il faut se dire ça tous les jours hein clairement, mais avoir une perspective dénué d'ego, ça permet de ne pas s'attarder sur tous les points négatifs qu'on peut rencontrer au quotidien.

Norellenilia a écrit :

nino300 a écrit :

abba66 a écrit :

Pourquoi c'est plus facile de penser au négatif, que de penser au positif ??

> Merci pour vos réponses précédente (en retard) XD

Car il y a une sorte de virus en toi qui se nourrit de tes sentiments négatifs, il s'impose à toi sans même que tu t'en rende compte et il crée ta tristesse, tes angoisses et tes peurs*. Plus tu le nourris de sentiments comme ça plus il va être fort et donc se sera plus difficile de penser au positifs qu'aux négatifs. En vrai si le sujet t'interresse vraiment je peux te partager un livre que j'ai lu en rapport et qui peut t'aider ssi tu veux plus penser aux positifs

What ???? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ??

Nan mais c'est surtout que ça dépend des gens, en fait. Y'a des gens qui voient plus facilement le positif que le négatif et vice versa. Puis bon on reçoit peut-être plus souvent de remarques négatives que positives. Y'a aussi la dépression mais c'est encore autre chose.

On reçoit en moyen 8 remarques négatives pour 2 remarques positives par jour, tous les jours. Donc, à force d'avoir surtout des retours négatifs, on peut avoir tendance à ne voir que ça. Je conseille cette vidéo et celle-ci ^^

RavioliGangsta a écrit :

Est ce que se créer une entité extérieure à soi, une sorte de tulpa, éloigne ou rapproche de l'état de folie?

Avant de répondre, il faudrait déjà définir la folie ou "l'état de folie"...
Qu'entends tu par là ?

Hellyana a écrit :

RavioliGangsta a écrit :

Est ce que se créer une entité extérieure à soi, une sorte de tulpa, éloigne ou rapproche de l'état de folie?

Avant de répondre, il faudrait déjà définir la folie ou "l'état de folie"...
Qu'entends tu par là ?

En effet, il faudrait définir ce que tu entends par l'état de folie. Concernant les tulpas, dans l'idée une fois créés ils ont leur propre conscience et peuvent donc échapper au contrôle de leur créateur/trice. Donc bof bof comme moyen de compenser un mal-être.

Dernière modification par Sacrimony (Le 12-01-2018 à 17h12)

Sacrimony a écrit :

Hellyana a écrit :

RavioliGangsta a écrit :

Est ce que se créer une entité extérieure à soi, une sorte de tulpa, éloigne ou rapproche de l'état de folie?

Avant de répondre, il faudrait déjà définir la folie ou "l'état de folie"...
Qu'entends tu par là ?

En effet, il faudrait définir ce que tu entends par l'état de folie. Concernant les tulpas, dans l'idée une fois créés ils ont leur propre conscience et peuvent donc échapper au contrôle de leur créateur/trice. Donc bof bof comme moyen de compenser un mal-être.

En attendant cette question date d'il y a un an et demi en fait...

sissi1428 a écrit :

Sacrimony a écrit :

Hellyana a écrit :

RavioliGangsta a écrit :

Est ce que se créer une entité extérieure à soi, une sorte de tulpa, éloigne ou rapproche de l'état de folie?

Avant de répondre, il faudrait déjà définir la folie ou "l'état de folie"...
Qu'entends tu par là ?

En effet, il faudrait définir ce que tu entends par l'état de folie. Concernant les tulpas, dans l'idée une fois créés ils ont leur propre conscience et peuvent donc échapper au contrôle de leur créateur/trice. Donc bof bof comme moyen de compenser un mal-être.

En attendant cette question date d'il y a un an et demi en fait...

Wut ? Sérieux ? Je savais pas xD pourquoi elle a été déterrée ?

Pour le français, on a supprimé l'accord de proximité pour des raisons sexistes, mais pour les autres langues de racine latine comme l'espagnol, ça s'est passé comment ?
Même motif, même époque ou quelque chose de différent ?

C'est quoi concrètement l'hypersensibilité? Genre, comment on sait qu'on est hypersensible?

Parce que tu réagis à tout de façon excessive, tu pleures ou tu ris mais de manière trop importante par rapport à l'importance du moment.
Des petites choses insignifiantes te font réagir immédiatement. Tu te sens facilement triste souvent, pour un rien parfois, tout te touches mais fort sans rapport avec la gravité de la chose.
Surtout parce que tu mets tout ton coeur et ta sensibilité dns le ressenti de la chose, alors souvent tu vas grossir les choses parce qu'elles te frappent de plein fouet.

Dernière modification par kamenka4 (Le 17-01-2018 à 21h42)